Le tam-tam médiatique autour des constructions de Lignes Ferroviaires à Grande Vitesse (LGV) minimise bien souvent les dégats socioéconomiques et écologiques qui en découlent au seul profit d'une religion du Progrès et aux mirages d'un développement corrolaire.
La réalité est bien loin de cette utopie et avant que nos oligargues et technocrates renouvellent les désastres des décennies précédentes dans la construction de milliers de LGV estampillées du sceau mensonger "d'utilité publique" nous devons tenir compte des leçons du passé en la matière.
Ainsi pour se forger une idée réaliste des impacts d'une LGV sur nos territoires nous sommes-nous déplacés sur le chantier de la LGV Tours-Bordeaux en ce début 2013.
A cette occasion nous avons pu rencontrer les responsables d'associations environnementales et de défense des territoires traversés qui nous ont fait part de leur expérience plongeant dans les années de lutte face aux pouvoirs public, à RFF, et depuis l'adjudication de la concession, à COSEA (filiale de VINCI).
Cette expérience incontournable doit nourrir notre propre lutte contre les projets de RFF au sud de Bordeaux dans ce que l'on nomme le GPSO.
Nous vous invitons à consulter un compte rendu de cette rencontre et à profiter des échanges avec nos collègues et amis du Poitou-Charente.
Voir lien ci-aprés:
http://www.archive-host.com/link/e13db2370f699c119a815ddd6424c2047d163198.doc
Pour LGVEA. Jean-Robert Thomas
10 avril 2013